Ces mots de Patrick Bruel résonnent en chacun de nous. C’est tellement vrai. Et c’est pour ça que la mort de Johnny nous fige, pas simplement parce qu’on l’a aimé et qu’il va nous manquer.
Nous n’avons pas tous acheté ses disques et pourtant… Johnny a tellement tout donné avec amour, talent et bienveillance tout au long de sa vie, que tel un prince du rock’n roll traversant les âges, les modes, les clivages intellectuels bien français et les écarts de générations, il incarnait implacablement un espoir d’immortalité, de surhumanité. Eh oui, c’est con, on y a tous un peu cru.
> Hommage émouvant de Patrick Bruel à Johnny